
Possédant la majorité des terres et la plus grande armée, les meilleurs chevaliers, leur liberté n'en reste pas moins restreinte. Les normes sociales rendent impossible tout scandale: maîtresse, homosexualité, pots-de-vin et autres actes dérogeant au dogme religieux les rabaisseraient à de vulgaires paysans, membres de la plèbe, au service d'un seigneur pouvant être moins puissant qu'ils ne l'ont été eux.
Il leur faudra vivre dans le silence, taire leurs instincts primaires et vivre pour leur peuple; savoir sacrifier leur vie privée au prix de celle de leur peuple.
Ou au contraire, jouer de leur puissance et notoriété pour acheter le silence des autres, s'attirer les faveurs du clergé et dominer d'une main de fer leurs territoires.
Il leur faudra vivre dans le silence, taire leurs instincts primaires et vivre pour leur peuple; savoir sacrifier leur vie privée au prix de celle de leur peuple.
Ou au contraire, jouer de leur puissance et notoriété pour acheter le silence des autres, s'attirer les faveurs du clergé et dominer d'une main de fer leurs territoires.

Généralement cloîtrés dans leurs monastères et cathédrales, ils n'en restent pas moins les puissances dominantes, ayant une influence tout autant sur la population que la Noblesse. Pourtant, sans la protection de cette dernière, son armée sainte ne serait pas assez puissante pour contrer une invasion ou un soulèvement populaire.
Dépendant ainsi de l'opulence, certains prêtres restent fidèles à leurs v½ux tandis que d'autres dissimulent leur vices, emportant d'autre loyaux fidèles dans leur disgrâce avec ou sans leur consentement. L'argent et la foi sont les deux maîtres mots du Clergé.
Dépendant ainsi de l'opulence, certains prêtres restent fidèles à leurs v½ux tandis que d'autres dissimulent leur vices, emportant d'autre loyaux fidèles dans leur disgrâce avec ou sans leur consentement. L'argent et la foi sont les deux maîtres mots du Clergé.

Différents chefs de villages se réunissent en ville, les commerçants envahissent les rues jours de marché, et parmi eux se promènent trois entités particulières: Les Druides, amis de la nature et guérisseurs hors pair; les Alchimistes, créateurs de nouvelles technologies mais régulièrement assimilés à de la sorcellerie, toute fois sous protection de la noblesse; et les Sorcières, redoutées de tous et particulièrement dangereuses. Les chasses aux sorcières étant fréquentes, leur nombre s'est vu drastiquement chuté, mais les dernières présentes sont reines de manipulation et de discrétion.


Le royaume de Misselia était aussi connu pour cette guerre incessante entre la Noblesse et son jeune Roi actuel, le Clergé et son intransigeant Evêque puis le Tiers-Etat, acculé entre ces deux grandes puissances et mis à rude épreuves par les Chevaliers de la Sainte-Croix.
Qui choisirez-vous entre ces trois grandes entités du Moyen-Age ? Préférerez-vous la richesse et la vie confortable de la Noblesse ? La foi et le pouvoir du Clergé ? Ou la dure vie du peuple ? Mais le peuple n'est-il pas celui qui puisse s'offrir un avenir meilleur quoi qu'il advienne ? Après tout, comment pourrait-il tomber plus bas ?
Seul vous pouvez choisir, mais faites attention, une fois fait, n'oubliez pas votre but : survivre.

NOBLESSE :
Roi 1/1 ▌Comtes/comtesses 0/2 ▌Princes/princesses 0/3 ▌Petits seigneurs 0/3 ▌Barons/Baronnes 0/3 ▌Alchimistes 1/2 ▌Chevalier 0/2
CLERGÉ :
Prêtres 0/2 ▌Moines 0/2 ▌Cardinal 0/1 ▌Évêque 1/1 ▌Aumônier 0/2 ▌Professeur 0/1 ▌Religieux 0/3 ▌Chevaliers de la Sainte Croix 1/2
TIERS-ETAT :
Paysans 0/5 ▌Bourgeois/bourgeoises 1/3 ▌Commerçants 0/4 ▌Artisans 0/3 ▌Sorcières 0/2 ▌Druides 0/3 ▌Alchimiste 0/1
Roi 1/1 ▌Comtes/comtesses 0/2 ▌Princes/princesses 0/3 ▌Petits seigneurs 0/3 ▌Barons/Baronnes 0/3 ▌Alchimistes 1/2 ▌Chevalier 0/2
CLERGÉ :
Prêtres 0/2 ▌Moines 0/2 ▌Cardinal 0/1 ▌Évêque 1/1 ▌Aumônier 0/2 ▌Professeur 0/1 ▌Religieux 0/3 ▌Chevaliers de la Sainte Croix 1/2
TIERS-ETAT :
Paysans 0/5 ▌Bourgeois/bourgeoises 1/3 ▌Commerçants 0/4 ▌Artisans 0/3 ▌Sorcières 0/2 ▌Druides 0/3 ▌Alchimiste 0/1
Après, libre à vous de nous proposer d'autres professions, pour autant qu'elles ne soient pas « exagérées ». J'entends par là « Moi je veux être une fée et élever des dragons ». Ça, c'est non. Cela doit rester réaliste, et être adapté au thème, pas d'anachronisme.
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